mercredi 15 avril 2009

Carnet de recettes recouvert de tissu

face et dos avec l'un des tissus trouvés dans une mercerie de Versailles. J'ai juste rajouté un petit biais pour la finition.

mardi 14 avril 2009

Cartoon à l'intention d'un Jack Russell qui course les chats...

Atelier de cuisine de samedi : Canon d'agneau en croûte d'olives de Nyons, polenta crémeuse

Atelier de cuisine de samedi : Oeuf mollet, salade fraîche aux herber et artichauts poêlés, chapelure de lard et ciboulette

D'autres surprises à l'Armoire de Camille...


Cette fois encore, de belles surprises m'attendaient à l'armoire de Camille : un petit édredon et son petit polochon assorti, en velours bleu grisé, avec une poche brodée extraite d'un ancien drap de ma mère et de vieilles dentelles et, surtout, un beau cadre patiné par les bons soins de Sylvie avec une partie du prénom de ma mère brodé sur son drap de mariage. Ou comment faire revivre du linge usé et qui a une histoire.

dimanche 5 avril 2009

Earth Picture Galleries...




du Telegraph : je ne manque jamais d'y faire un tour le week-end, tellement les photos d'animaux sont sensibles et magiques : voici mes choix de ce dimanche, avec un penchant pour ce petit chien jack russell qui fait la toilette de son copain félin. Le jack de la maison ne fait lui, que la toilette des yeux des chevaux !

dimanche 29 mars 2009

Belle surprise à l'armoire de Camille...


j'avais confié à Sylvie un drap brodé par ma mère et j'ai retrouvé une petite courtepointe en lin bis, avec une bordure du drap et une poche brodée. Je ne m'attendais pas à un si beau résultat.

vendredi 27 mars 2009

des livres pour les hobbys...




cette semaine à prix cassés à la fnac !

samedi 21 mars 2009

Miroir, mon beau miroir !

(Darren Staples/Reuters)

Mise à jour "l'armoire de Camille"

J'écrivais le 14 mars : suis passée aujourd'hui, Sylvie a découvert par hasard que j'avais mentionné sa belle boutique, et Pierre a tenu à présenter une réclamation, l'adjectif de charmeur ne lui convenant pas. C'est vrai, cet adjectif est bien trop réducteur de sa riche personnalité ! N'ayant pas trouvé d'autre qui le décrive simplement, je le conserve, en attendant !!!

Aujourd'hui, nouveau passage à cette belle adresse et après deux theières de "Pleine Lune" et quelques douceurs, voici une liste d'adjectifs qui pourraient aller comme un gant à Pierre : taquin, coquin, courtois, subtil, original, généreux, patient, sensible, intuitif, ... J'arrête là pour aujourd'hui, la suite la semaine prochaine !

(photo extraite du blog http://baucisetphilemon.canalblog.com)


vendredi 13 mars 2009

Je ne résiste pas... à Wiaz !


Je guette ses dessins sur le site du Nouvel Obs, il croque d'une façon très simple l'actualité. Voici celui de cette semaine.

lundi 23 février 2009

L'armoire de Camille...

est un lieu très particulier dans un quartier historique, au 12, rue du Vieux Versailles à Versailles : à la fois magasin de brocante et salon de thé, une ambiance très apaisante, de belles matières, une mise en scène accueillante, des tas de petites idées déco à chiper, et, cerise sur le gâteau, des thés Mariage Frères et des petits gâteaux à se damner. Bref, pour moi, un rendez-vous devenu incontournable le samedi après-midi, et le plaisir de retrouver Sylvie, de si bon conseil, et Pierre, son charmeur de mari.

Petite note du 14 mars : suis passée aujourd'hui, Sylvie a découvert par hasard que j'avais mentionné sa belle boutique, et Pierre a tenu à présenter une réclamation, l'adjectif de charmeur ne lui convenant pas. C'est vrai, cet adjectif est bien trop réducteur de sa riche personnalité ! N'ayant pas trouvé d'autre qui le décrive simplement, je le conserve, en attendant !!!

vendredi 20 février 2009

Petits tissus...





trouvés dans une mercerie de Versailles, de vraies petites merveilles, il n'y a plus qu'à trouver le temps et les idées... Bien que j'en aie une : recouvrir mes carnets de cuisine avec le bleu et rouge.

jeudi 19 février 2009

Ca pourrait être moi...

Leçons de cuisine...


de l'école Ritz Escoffier. Moins bistrot et plus gastronomie française traditionnelle.

Mot de l'éditeur : Cuisiner « à la française » relève d'un véritable savoir-faire, ce que la plupart des livres de gastronomie parus ces dernières années font semblant d'ignorer. C'est ce savoir-faire, ces tours de main professionnels, que ces Leçons de cuisine mettent à la portée du grand public en près de 200 recettes très actuelles (tant par les ingrédients, les associations de saveurs, les cuissons que par les présentations). Par ailleurs, chacune comporte des indications de dressage des plats ou assiettes, des astuces données par les chefs, des conseils de sommelier, des variantes, des suggestions d'accompagnement. Les savoureuses photographies de Luc de Champris donnent aux recettes une sensualité gourmande qui renoue avec le plaisir de cuisiner et de déguster.


Régalade entre amis...


un livre à feuilleter avec des recettes dites de bistrot. Belle présentation et beaucoup de bons moments aux fourneaux en perspective.

mercredi 11 février 2009

Un texte, trois voix, trois vies... un choix et une certitude !

Fredericks, Goldman, Jones : Né en 17...

Et si j'étais né en 17 à Leidenstadt
Sur les ruines d'un champ de bataille
Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens
Si j'avais été allemand ?

Bercé d'humiliation, de haine et d'ignorance
Nourri de rêves de revanche
Aurais-je été de ces improbables consciences
Larmes au milieu d'un torrent ?

Si j'avais grandi dans les docklands de Belfast
Soldat d'une foi, d'une caste
Aurais-je eu la force envers et contre les miens
De trahir, tendre une main ?

Si j'étais née blanche et riche à Johannesburg
Entre le pouvoir et la peur
Aurais-je entendu ces cris portés par le vent
Rien ne sera comme avant ?

On saura jamais ce qu'on a vraiment dans nos ventres
Caché derrière nos apparences
L'âme d'un brave ou d'un complice ou d'un bourreau ?
Ou le pire ou le plus beau ?
Serions-nous de ceux qui résistent ou bien les moutons d'un troupeau
S'il fallait plus que des mots ?

Et si j'étais né en 17 à Leidenstadt
Sur les ruines d'un champ de bataille
Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens
Si j'avais été allemand ?

Et qu'on nous épargne à toi et moi si possible très longtemps
D'avoir à choisir un camp
.

mardi 10 février 2009

Tempura : petite note historique...


Le terme culinaire de "tempura" a éveillé ma curiosité et j'ai cherché à en connaître son origine. Je fus très étonnée quand j'ai appris que les Portugais y étaient pour beaucoup. Voici donc la petite histoire de la tempura :

L'arrivée des Portugais au Japon au milieu du XVI ème siècle est à l'origine de ce plat emblématique de la gastronomie nippone. La tempura, ainsi que le "pão de ló" - kasutera en japonais - est un héritage lusitanien de plus de 450 ans. C'est pendant la période Muromachi (du XIVème au XVIème) que les missionnaires jésuites sont arrivés au pays du soleil levant. Fidèles aux principes religieux de la Compagnie de Jésus, les missionnaires ne mangeaient pas de viande pendant le Carême. Il était habituel de manger des légumes et du poisson pendant cette période (têmpora en portugais). Les aliments étaient coupés en petits morceaux, passés dans une pâte et frits. Les japonais ont adopté cette technique. De plus, ils n'étaient pas de grands consommateurs de viande, de part leur tradition boudhiste.

La friture des aliments faisait déjà partie des habitudes japonaises, l'unique huile alimentaire disponible était de sésame, mais son prix élevé rendait sa consommation rare. C'est à partir du moment où une autre huile végétale destinée à l'éclairage a commencé à être utilisée que les fritures sont devenues courantes.

Les missionnaires ont fini par être expulsés mais la tradition est restée. Ce sont les marchés de rue du XVIII ème siécle qui ont rendu la tempura populaire. Bon marché, elle pouvait être dégustée dans la rue sans l'utilisation des hashi (petites baguettes). La pâte qui enveloppait les morceaux de légumes s'est transformée em une panure très légère et croquante.

La tempura de légumes (oignon, carotte, poivron, asperges) est connue sous le nom de shojinage (Shojin signifiant abstinence), la tempura de crevette sous celui d'ebi. L'accompagnement habituel est la sauce tentsuyu et du navet cru râpé pour faciliter la digestion. Plutôt que l'association à la pédiode de carême, les historiens indiquent que la génèse du nom tempura vient directement du latin "Temperare" qui a donné le nom portugais de "tempero".

La base de la tempura est facile : acheter de la farine tempura dans un magasin spécialisé ou au rayon exotique du supermarché. Ajouter de l'eau gelée jusqu'à obtenir la consistance désirée. L'huile de friture doit être à 170-180º. Passer les légumes ou les crevettes dans cette pâte. Retirer l'excédent. Surveiller la cuisson. Faire égoutter sur du papier absorbant.

Quoiqu'il en soit, une belle façon d'accomoder des légumes et les crevettes !!!

mercredi 4 février 2009

The quilters ultimate visual guide...


est finalement arrivé à bon port, et comme son nom l'indique, est le livre indiqué pour une novice comme moi. Beaucoup d'explications, de trucs et d'astuces, avec des dessins ou illustrations explicites, donc maintenant il n'y a plus qu'à trouver le temps de faire... Un grand merci à Véronique, de Born to Quilt, qui, une fois encore, a été de bon conseil !

jeudi 29 janvier 2009

Menus des prochains ateliers de cuisine...

Suis passée à "l'arrière boutique" pour réserver ma place et j'ai pris connaissance des prochains menus :

Menu 1 :
  • Tempura de gambas, crémeux de patate douce et chips de betterave
  • Daurade rôtie sur peau, fenouil confit, olives de Nyons et tomates séchées

Menu 2 :
  • Crème de cresson, noix de st jacques poêlée
  • Suprême de pintade rôtie, cristalline de chou vert

J'essaierai de ne pas oublier l'appareil photo !!!

Dans la boîte à lettres...


le dernier n° de Cuisine et Vins de France, avec de bonnes recettes de saison. Et le dernier n° des Idées de Marie Claire, qui ne m'enchante pas plus que ça !

mardi 27 janvier 2009

Recette Picard : gâteaux moelleux aux myrtilles...

Ingrédients :


  • 150 g de myrtilles

  • 100 g de beurre

  • 2 oeufs

  • 120 g de sucre

  • 120 g de farine

  • levure chimique

Battre les oeufs avec le sucre. Verser le beurre fondu et mélanger. Ajouter la farine et la levure. Fariner les myrtilles et les incorporer à la pâte. Répartir dans des petits moules. Laisser cuire 20 mnà 180°.

NB : dans la recette originelle, il y a aussi 40 g de poudre d'amandes et 1 sachet de créme anglaise surgelée. Mais j'ai préféré faire un gâteau plus léger.

vendredi 23 janvier 2009

Je craque devant des Jack Russell...


et une marque américaine fait une pub très sympathique avec ces petits monstres vifs et attachants.

Shutter Island...


est certainement le roman policier qui m'a le plus marqué dernièrement. Lu d'un seul trait, c'est un thriller psychologique déroutant et incroyable, avec une histoire qui nous accroche à chaque page, avec une fin incroyable, que l'on ne commence à deviner que dans les dernières pages. Un huis clos oppressant et un regret quand on lit la dernière phrase, et l'envie pressante de relire aussitôt le livre, pour voir ce qui nous avait échappé à la première lecture.

L'arrière boutique...

est un lieu où je vais certainement passer de très bons moments dans les mois qui viennent pour suivre deux fois par mois un atelier culinaire. Le site www.cuisinons-ensemble.fr décrit bien la philosophie de deux jeunes chefs passionnés, Ludovic et Franck, qui ont fait leurs armes dans des lieux prestigieux et se sont rencontrés au Four Seasons George V, où est né le projet de ce lieu si particulier.

Au programme de demain :
entrée : Capuccino de lentilles, oeuf poché et tartine au Serrano
plat : Filet de cabillaud, tatin d'endives à l'orange.

Pour respecter leurs créations, je ne mettrai pas les recettes, seulement les photos, si je n'oublie pas mon appareil photo !

De l'art et la manière de ne pas tenir ses promesses...


Oui, j'ai beau avoir déjà posté un message sur le code de bonne conduite bloguesque que je me proposais d'adopter, aujourd'hui je me fais l'effet d'être un peu dans la peau d'un homme politique qui ferait des promesses qui n'engageraient que ceux qui seraient tentés de l'écouter....

Bon, il faut bien que jeunesse se passe (sic!) et à quelque chose, négligence est bonne ! Car nouvelle année et nouveaux hobbys, cela faisait longtemps que j'avais envie de prendre des cours de cuisine, et c'est chose faite. Aussi, je promets de transcrire fidèlement les recettes, histoire de me faire pardonner. Et j'essaierai de ne pas oublier de prendre des photos des plats, de manière à en faire saliver plus d'un !